Un service ou un exigence ? [PV : Damon Harper] [Yaoi]

La journée ne commence pas aussi bien que je l'aurais cru. En me levant, je ne pensais qu'à dévorer un peu de viande, peu importe de quel animal il provient. Je me suis pointé Dans l'un de ces restaurant humain, quand je m'y pointe, même sous ma forme humaine, j'ai l'air tout aussi étrange qu'un extra-terrestre. Je suis plus grand, j'ai des tatouage sur le corps et bien sur, ils sont visible, très visible puisque mon torse est à découvert, ma veste toujours détaché. Je n'attendit aucun serveur, je suis plutôt allé prendre place au fond, près d'un tableau d'un peintre inconnu. Ses formes et ses couleurs me plaisaient bien, d'un rouge profond comme principale couleur. Les gens me fixaient, mais je n'y portais pas trop mon attention sur eux, plutôt sur les serveur, j'attendais que l'un d'eux se pose devant moi. À force d'attendre je finis par en attraper un au passage.

"Sert moi !" Voilà ce que j'ai du dire avant qu'il ne daigne prendre ma commande. De la viande, c'est tout ce que je voulais. C'est ce que je lui disais alors qu'il me regardait d'un oeil étrange. Un sourire s'afficha sur son visage, quelque chose d'assez étrange de la part d'un humain. Il vint ensuite me demander à l'oreille si j'étais un démon, j'en avais plutôt l'air, mais il voulait en être sur. Quel drôle d'humain, je compris qu'il voulait passer un pacte, je compris qu'il voulait un esclave, à mon tour, je voulais lui faire ravaler se sourire. Je me relevais et je l'entrainais à la salle de bain. Il était docile, il croyait que j'allais me plier à lui, quel insecte. Je me mis pas longtemps à lui montrer que je ne me laissais pas faire, qu'en dépend du pacte, c'est moi qui allait jouer. Je voulais voir son corps, étudier la marchandise, alors je déchira son haut, le réduisant sans mal en lambeau sous cette main griffue que je venait rendre son apparence démoniaque. Il commençait à être inquiet, celle belle viande fraiche, j'avais faim, j'avais envie de le dévorer, de m'amuser, de le faire se sentir bien sous son sang qui aurait probablement pu le faire se sentir bien.

Malheureusement, je n’eus pas ce que je voulais. Il eu tôt fait de me assener de violents coups, au visage et au torse pour me repousser et fuir. Je le poursuivit, bien évidemment, je voulais le rattraper et lui montrer qui de nous deux était l'esclave, qui de nous deux serait le jouet de l'autre. Je le vis quitter le restaurant en panique, et je le suivis à la hâte pour le rattraper. Quel rage finit par combler ma faim, je forçais mes jambes à puiser dans leurs réservent pour accélérer ma course, je cru le voir entrer dans un bâtiment que je ne connaissais pas et bien évidemment, je le suivis à l'intérieur. Je ne le voyais toujours pas et je finir par fouiller les portes à grande vitesse. Aussitôt que j'en ouvrais une mon oeil scrutait rapidement la pièce et je passais à une autre, si une me résistait, je la défonçais littéralement pour entrer sans permission. Je soufflais épuisé et je força une porte avec le nom de Harper affiché à l'entré.

En regardant autour, je vois bien que l'homme que je cherche n'est pas là, je souffle en halètement essoufflé en m'accrochant à la poignée de porte, courbé en cherchant à retrouver ma respiration. En relevant la tête je remarqua un homme, assez beau d'après le premier regard. Le souffle repris je m'avance vers lui en souriant l'air intrigué. Je m'avance jusqu'à me poser devant lui et je lui souris doucement, un peu amusé, sachant très bien que désormais, je n'arriverais pas à retrouver celui que je cherche, il doit déjà être loin à l'heur qu'il est et je n'ai rien du flaire de certain démon pour le retrouver. Je vois qu'il est inspecteur, voilà qui tombe à pique.

- "Hmm.. Dis moi, tu es capable de retrouver un homme, rapidement et efficacement ? Dans ce cas, tu me seras sans doute utile."

Je fini par m'approcher si près que je vais agripper son menton doucement, pour le forcer à me regarder dans les yeux, quel regard intriguant, un peu que j'aime, un bleu que j'aimerais avoir. Je caresse un peu sa joue avec mon pouce en attendant une réponse de sa part. Je le regarde intrigué, voit-il que je suis un démon ? Tout comme l'autre humain ou alors croit-il que je suis humain et dans ce cas, il voudra sans doute me prendre comme client. J'ignore comment il fonctionne, ça m’étonnerait qu'il ait plusieurs clients qui déballe dans son bureau en halène.

Je suis au coin d'un rue parallèle au centre ville. Une petite ruelle sombre où il n'y a pas beaucoup de passage. Devant moi, un motel tout ce qu'il y a de plus simple et .... de plus discret. C'est le genre d'endroit où les gens tire leurs coups, font des choses pas nettes ou alors parce qu'ils n'ont pas assez d'argent pour aller ailleurs. Hors, l'homme qui vient d'entrer dans cet endroit est loin de manquer d'oseille. Habillé richement, les cheveux gomminés, une serviette en cuir que j'ai reconnu comme venant du maroquinier le plus cher sur le marché. Sûrement un modèle exporté de l'étranger. Je regarde ma montre, ça va faire bientôt 1h30 qu'il est à l'intérieur. Ce n'est pas un rendez-vous d'affaire c'est certain. La femme avec laquelle il est entré à l'intérieur ne répond pas aux critères de la femme d'affaire. Jupe trop osée, un haut plus plongeant que le grand canyon et sans une once de classe. Bref, sans hésiter d'après ce que je connais de son entourage, c'est la femme d'un de ses gros clients. Pas besoin de vous faire un dessin, ce qu'il se passe là-dedans est plus qu'évidant. Si on oublie qu'elle est marié on pourrait dire qu'il ne fait rien de mal... oui, si on oublie qu'il est aussi marié à une femme, pourtant magnifique, et qu'il a trois enfants. Je soupire, il me faut des preuves. Mon témoignage suffira à sa femme mais pas à l'avocat pour le divorce. Et même si elle ne va pas jusque là, au moins il ne pourra pas lui trouver une excuse à dormir debout. Je les ai déjà pris en photo alors qu'ils entraient dans l'hôtel, mais ce n'est pas suffisant.... Il pourra toujours lui dire que ce n'était que pour les affaires et qu'il l'a vu en toute discrétion.

Je décide donc d'entrer dans l'hôtel. Une fois à l'intérieur, je vais voir le réceptionniste. Un jeune homme qui avait besoin d'un boulot d'urgence, je lui ai trouvé celui-ci. Evidemment ça m'arrange puisqu'il a une dette envers moi, il se fait le plaisir de m'aider dès qu'il le peut. Comme toujours, il me reçoit avec un grand sourire. Après quelques banalités échangées, je lui demande de me renseigner sur ma cible. J'apprends qu'il a pris une chambre sous un faux nom, qu'il a payé en liquide et le numéro de sa chambre. Je lui demande une copie de ses informations et décide de le prendre en flagrant délit. grâce à l'aide de mon jeune complice je réussis à me procurer une tenue d'employé. Le propriétaire n'a pas hésité longtemps à me donner sa place quand je lui ai sortit quelques billets. Une fois accoutrés de mon costume incognito d'homme d'entretien de motel, à savoir rien de bien sexy, je me dirige vers les chambres du haut. Après avoir trébuché trois fois dans les escalier, dont une fois où j'ai manqué la rampe pour me rattraper, j'arrive au bon étage. La porte est bien sûr fermé, je glisse doucement la clef dans la serrure et ouvre la porte lentement. Evidement, il fallait qu'il y ait une tuile... et la porte s'est mise à grincer. Je m'arrête mon coeur battant la chamade. Tendant l'oreille, prêt à être pris sur le fait mais... rien... le silence... Je jette un oeil dehors et remarque que le lit est vide.... Je me serais trompé de chambre ? Impossible... ou pas. J'allais sortir quand j'entend des gloussements venant de la salle de bain d'un côté. La porte est restée à demie ouverte.... enfin un bon coup de pouce. Je m'avance doucement sort mon gros appareil et prends une photo, deux pour le principe et une troisième au cas o.... ET MERDE ! L'appareil commence à faire un bouquant du diable. Plus de pellicule sûrement ! Zut zut zut ! Les voix s'arrêtent pendant un moment. L'homme tente alors un "Qui est là ?". Je me fige et l'entend sortir de la baignoire dans laquelle il devait patauger. Il faut que je me barre et vite ! Je me déplace lentement jusqu'à la porte mais mauvais timing, il me voit de dos et me demande de m'arrêter. Cette fois, plus qu'une solution : fuir. Je pars en courant à toute allure, je l'entend qui me suis. Je vois les escaliers arriver et me dis que ce n'est pas mon jour. Je m'attendais à une belle chute, comme d'habitude... mais là.... Ce fût encore mieux. Interpellé par les voix, le gérant a dû vouloir monter voir ce qu'il se passait. ni une, ni deux, je rentre en collision avec lui, nos deux fronts s'entrechoquant et fais une chute en tandem dans les escaliers. Une fois en bas, encore un peu sonné, j'essaye quand même de me relever. Titubant, je tente de reprendre ma fuite, l'homme toujours à mes trousses. Il doit être ridicule, nue avec sa serviette autour de la taille, mais je ne me retourne pas. J'ai déjà du mal à marcher droit, autant me concentrer. De plus, je ne prendrais pas le risque qu'il puisse établir un portrait de moi. La discrétion et le maître mot du détective privé... bizarrement j'ai du mal à l'appliquer. Voyant qu'il ne me lâche toujours pas, je décide d'utiliser ma botte secrète. L'appareil dans une main, j'utilise l'autre pour attraper une petite fiole dans mon sac. je l'ai préparer hier soir, un potion de téléportation à distance. Je commence l'incantation en prenant garde à ne pas mélanger les mots et lance la fiole au sol. Elle génère un nuage de fumée mais je n'ai pas bougé.... j'ai du manquer une étape.... Déconfit, le nuage me dissimule toutefois à mon poursuivant qui semble déstabilisé. Je souris, il ne doit pas avoir à faire à des sorciers tout les jours. Je regarde ma fiole au sol et remarque de légères étincelles. Pas bon du tout..... Je me met à courir le plus loin possible en criant au danger. A peine le coin de rue dépasser j'entend une explosion qui fait sauter un lampadaire... Rassuré que l'explosion n'est pas était trop grosse, je ne m'attarde toutefois pas dans le coin et rentre au bureau au plus vite.

La première chose que je fais en franchissant la porte et de sortir mes vêtements de mon sac pour aller prendre une douche et me changer. Une fois cela fait, je prend les photos pour les développer dans ma chambre noire. Je souris devant le travail accomplit. Les deux amant dans la même baignoire, nus. Lui léchant ses seins comme une bête affamée. Pas de doute possible sur leur relation. Ayant la douce volupté de la victoire, je sors de la chambre noire et va à mon bureau. Se travail là est terminé. Je range les derniers documents dans le dossier correspondant où les photos les rejoindront bientôt. J'appelle ma cliente pour la prévenir que j'ai fini mon travail et qu'elle peut passer quand elle veut. Alors que je raccroche et que je m'apprête à enquêter sur la disparition d'un tableau très coûteux autant sur le plan financier que sur le plan affectif pour la famille qui l'a perdu, la porte de mon bureau s'ouvre à la volée.

Un homme des plus étrange se retrouve face à moi. Il lève ses yeux bleus vers moi. Il a des cheveux blond mi-long et e porte qu'un simple manteau rouge dévoilant ainsi un torse avec un étrange tatouage. Je lève un sourcil, un style vestimentaire plutôt à part. J'ai un drôle d'impression venant de lui, comme un pressentiment. Toutefois, s'il a franchit la porte de mon bureau c'est qu'il s'agit d'un client. Je le regarde calmement s'asseoir devant moi avec un drôle de sourire. Il semblait fatigué il y a deux minutes, là il respire normalement. Il récupère plutôt vite, il a sûrement du courir pour venir ici. Son problème doit être important... peut-être est-il en danger ? Je vais lui demander ce qui l'amène ici mais il me répond avant que j'ai pu demander. Il me demande si je suis capable de retrouver un homme de façon efficace. Il s'approche de moi et prend mon menton, son regard planté dans le mien tellement captivant, à la fois inquiétant et attrayant, que je ne fais même pas attention au fait qu'un homme me caresse la joue comme si j'étais une femme à séduire. Fixant ses yeux, je finis enfin par comprendre pourquoi j'ai cette drôle de sensation. Les yeux que j'ai crus bleus ne sont que des lentilles qui dissimule difficilement des yeux d'un rouge éclatant, c'est évident maintenant qu'il est si prêt de moi.... L'homme en face de moi est un démon... J'aurai dû le remarquer plus vite au vu de se façon d'agir et de se vêtir. Remarquant enfin la façon dont il me touche je dégage mon visage et m'adresse calmement à lui. Démon ou pas, il reste un client.

-"C'est mon travail, et je suis plutôt doué. Je suis donc en effet capable de trouver un homme... pouvez-vous vous asseoir et me donner plus de détail sur l'homme que je dois rechercher ?"

J'enchaîne rapidement avec quelques questions pour le guider sur les informations que je demande.

-"Quelles sont les circonstances de sa disparition ? Un nom ? Une photo ? Au moins une description physique ? Qui il est ? Bref, tout ce que vous pourrez me dire sur cette personne pourra être utile et me permettre de le retrouver au plus vite."

Je le fixe, attendant les réponses. ne détournant pas le regard, le traitant comme n'importe quel client. Prenant mon bloc note et un stylo je m'apprête à noter toutes les informations qu'il va bien pouvoir me donner.

J'écoute attentivement ce qu'il a à me dire. Je regarde les mouvements de sa bouche et de ses lèvres, elles me semblent si pulpeuses, si délicieuses. Il parle beaucoup, ce qu'il dit fini par devenir de la valeur qui s'évapore, je ne l'entend plus. Je caresse doucement son menton en fixant toujours ses lèvres. Il n'arrête pas de parler, ce qu'il peut-être énervant à la longue, même si sa voix sonne douce à mon oreille. Elle me donne envie de le toucher, de le goûter, il me donne envie d'entendre sa voix gémir de plaisir. la souffrance peut également donner un beau gémissement. J'ai envie de piégé ses lèvres en l'écoutant. Quand va t-il cesser pour que je les lui dévore ? Tant pis, je ne patiente plus. Je saisis ses derniers mots, qu'il veut le retrouver au plus vite ? Retrouver qui ? Je ne m'intéresse déjà plus à mon autre proie qui a déjà filé. Pour m'assurer qu'il se taise, je pose mes lèvres contre les siennes. Je faufile ensuite ma langue entre ses lèvres en cherchant un peu sa langue pour aller la caresser, la suçotant un peu au passage.

Je sens quelque chose m'empêcher de coller mon torse au sien, en cherchant devant moi avec ma main je découvre un bloc note que je jette au sol d'un mouvement agacé, je pose vite mon autre main dans son dos sans relâcher ses lèvres. Je le fais un peu pencher vers l'arrière en continuant de l'embrasser avec envie, je le sens si bon. Sa langue est si chaude et je me sens prendre de sa chaleur, j'ai encore plus envie de lui alors je glisse mon autre main sous son tee-chirt. Je passe mes doigts sur la peau de son torse et je le parcoure sensuellement en passage mes ongles sur sa chair doucement de sorte à le faire frisonner jusqu'à ce que je rencontre un petite bosse que je commence à pincer doucement. Je lui caresse son téton et le pince doucement sans quitter ses lèvres. J'approfondis le baiser en caressant sa langue langoureusement. Je sens que je commence à avoir du mal à respirer, mais je continue encore. Je ne veux pas le quitter et ce haut qu'il porte commence à m'agacer quelque peu. Je finis donc par relâcher ses lèvres et je lui sourit amusé.

- Je pense avoir une meilleure idée. Cet homme ne m'intéresse plus, j'ai plus intéressant ici.

Sur mes paroles qui montrent bien qu'il est mon nouveau passe temps, que je suis bien sur intéressé par lui, par son corps surtout. Avec le baiser que je lui ai fait, j'espère bien qu'il le comprenne, il faudrait être idiot pour ne pas le deviner, celui-ci n'a rien d'un idiot d'après ce que j'en ai vue jusqu'à maintenant. Je saisit le bas de son haut et je le lui relève avec force. Je ne veux pas perdre de temps, je montre bien là mon impatience. J'ai un peu de mal à faire passer ses bras en dehors du tissus et je tire plus fort uniquement pour le lui retirer. Je ne m'attarde pas vraiment de savoir si je viens juste de lui faire du mal ou non. Je jette son chandail à bout de bras. Je ne regarde pas où je le jette, ni où il atterrit. Je m'en moque. Il pourrait atterrir dans la fontaine de jouvence, je ne le saurais pas. J'ai les yeux rivé sur lui, un air pervers et envieux se pose alors sur son torse. Il n'est pas laid, loin de là. Il m'est très attirant et plus le regard, plus j'ai envie de lui. Je lui sourit alors en le regardant dans les yeux, je dois probablement avoir un léger air sadique. Je suis plus ou moins pressé de l'entendre crier.

- Hmm... Pas mal.

Je m'approche ensuite doucement de lui. En retirant son haut, il m'a fallu m'éloigner un peu de lui. Je suis terriblement bouillant d'envie, c,est limite si je ne me retiens pas pour lui sauter dessus et le violer brutalement contre le mur de son bureau. C'est ce que je ferai sans doute, c'est ce que j'ai envie de faire. J'ai envie de le posséder entièrement. Ça fait déjà un moment que la faim m'assaille et l'envie a du prendre le dessus depuis que ce serveur m'a allumer. Si ce n'avait pas été lui, ça aurait été un autre que j'aurais eu envie de prendre bestialement. Cet humain a simplement eu la malchance que mon dévolu tombe sur lui. Il est vraiment, terriblement sexy également, je ne vais pas y aller de main morte, surement pas. Son corps me donnerait probablement envie de lui même si je n'était pas allumé comme je le suis.

Il me regarde étrangement alors que je parle. Il semble attentif à quelque chose et pourtant il a la tête de l'éleve qui ne suit rien en cours et se fiche royalement de ce que lui dit le professeur. Dans le doute je continu quand même mes questions quand au bout de quelques minutes il s'avance vers moi et ..... Il déposés ses lèvres sur les miennes. un homme, un démon, mais homme quand même, l'embrasse et va jusqu'à introduire sa langue dans ma bouche. Je suis tellement sous le choc qu'au départ je ne réagis pas. Je veux protester et m'éloigner de lui, mais il balance mon bloc note je ne sais où est m'attire tout contre lui. Mais qui est cet Homme ? Il est fou ! Alors que je tente de le pousser il me fait basculer un peu en arrière et commence à me caresser sous mon teeshirt. Je frisonne au glissement des ongles sur ma peau. C'est étrange à dire mais il embrasse bien pour un homme et je me surprend à avoir envie de prolonger le baiser... Mais qu'est-ce que je raconte ? C'est un homme !! Il a un pénis qu'il va peut être vouloir me rentrer dans.... Rien que d'y penser je me sens mal. Je gigotte plus encore, mais lorsque son doigt caresse et pinçe mes tétons je laisse passer un gémissement. Choquer, j'ecarquille les yeux. Non. Jamais ! Finalement il relâche mes lèvres et me dit de laisser tomber pour l'homme, qu'il a quelque chose de plus important. Je ne met pas longtemps à comprendre qu'il s'agit de moi. Et que ce qu'il veut c'est disposer de mon corps comme il l'entend. Je tente de rester calme.

-" Excusez moi mais... Je ne suis pas intéressé par les hommes je.... Je n'ai pas envie de ....

Il tente de retirer mon teeshirt et y met tant de force que je ne peux même pas tenter de me défendre. Il force d'un quoi est une légère douleur passe dans mon épaule. Il l'envoie valser mon haut plus loin. Je tente de dissimuler mon corps au regard du démon en rougissant de honte. J'ai l'impression d'être une jeune vierge offerte en pâture à Satan ! Il me regarde et me sourit avec une envie sexuelle évidente. Il rajoute que je ne suis pas mal, je me mord la lèvre et détourné le regard cherchant une sortie pour échapper à la suite. Il s'éloigne un peu pour me retirer ce qu'il me reste de tissus, je tente alors de m'échapper mais glisse et au lieu de faire un bon hors du bureau je me retrouve à plat ventre dessus, les fesses en l'air. Cette fois, je vais vraiment y passer..... J'essaye d'attraper quelque chose pour me défendre. Je passe toute la pièce au scanner.

-"s'il vous plaît je vous aiderai à le retrouver donc ne faites pas ça ! Personne n'a encore été... En fin,. Voilà je...

Rouge de honte je n'arrive même pas a finir ma phrase ou à l'articuler convenablement. Comment vais je m'en sortir ? Comment ?

Je le vois se détacher de moi, mais rien de bien inhabituelle à mes yeux. Pour toute les fois où j'ai forcé un homme à coucher avec moi, je l'ai rarement vu être docile dès le début. En fait, je ne me rappelle pas d'une seule fois où un homme s'est laissé faire, mais de toute manière, je finis toujours par avoir ce que je souhaite avoir d'eux. Bien sur, je l’obtiens généralement par la force uniquement. Contrairement aux femmes, les hommes ont cette qualité d'affronter les situations plutôt que de les fuir, quoique... Celui-ci semble bien évidemment vouloir fuir, même s'il n'y arrivera pas, je n'aurai qu'à utiliser ma ceinture ou alors... peut-être pas. Je le vois trébucher, les fesses relevés. Je ne peux pas m'en empêcher, je ris, je ris si fort que ma voix résonne. Il me parait être une proie facile, ce qui est sur c'est qu'il m'amuse en plus d'être agréablement séduisant. Il essaie à nouveau de reprendre la situation en main par des paroles sérieuses, mais vu dans la position qu'il est, je ne peux que rire davantage.

- "Je t'ai déjà dis qu'il ne m'intéressait plus désormais, tu as mal compris où je voulais en venir ? Humm ?"

Je ris encore, mais je tente de calmer mon rire le plus possible, au moins en parlant pour que je n'aie pas trop l'air de me moquer de lui. Quoique.. C'est bien ce que je fais. Pendant qu'il est dans cette position je m'avance vers lui en me positionnant derrière ses fesses et je me décide à aller y frotter mon bassin. S'il n'avait pas compris quelques secondes plus tôt que je voulais pouvoir m'adonner à des actes probablement immondes, mais ô combien plaisantes, du moins pour moi... Je pose ensuite mes mains sur ses hanches pour le maintenir et je sourit malicieusement, ce sourire démontre bien mes pensées perverse envers lui. Je me penche ensuite dans son dos pour aller le lécher sensuellement dans le cou*

- Je t'ai dis que j'avais autre chose en tête, non ? Tu dois probablement penser à la même chose que moi maintenant.

Je rigole encore une fois. Il me semble si inoffensif, il me donne envie de jouer avec lui. Son corps également m'en donne très envie. L'une de mes mains se glisse dans son dos pour le lui caresser doucement puis cette même main explore sa peau pour finir par aller caresser son torse avidement. Je crois bien qu'à présent il ne me parlera plus de cet autre home, j'espère lui avoir fait comprendre que parler ne le mènerait nul par, à moins qu'il me propose quelque chose que je désire plus encore à cette instant, mais même la faim que j'éprouve ne me donne pas envie de me nourrir tant que je n'aurais pas eu ce que je veux de ce jeune homme. J'aime la chaleur qui commence à s'intensifier en moi, ma main devient plus chaude au contacte de sa peau, ce n'est pas seulement la friction qui donne cette effet, mais aussi le fait que je soit excité et qu'il m'en faudrait peu désormais pour générer des flammes dans mes mains.

Il me faudrait me refroidir pour être sur que je ne joue pas les pyromane, heureusement j'ai appris à le contrôler, je ne suis plus un enfant, loin de là. Je suis assez âgé pour m'adonner à des actes perverses, il n'est pas dure de penser que je suis assez âgé pour savoir contrôler mon pouvoir. Néanmoins, j'ai bien envie de l'utiliser, ne serait-ce que pour rigoler en voyant sa réaction. Je repasse mes doigts sur son téton et je mets davantage de chaleur au bout de mes doigts. Disons le carrément, je brule littéralement de sorte à lui bruler la peau. En même temps je vais le lécher dans le cou. C'est un geste impulsif sur le cou, je veux surtout l'entendre gémir sous la brulure plutôt que de le sentir frisonner sous ma langue. Plus tard je l'entendrai gémir fortement, plus tard je le ferai presque crier et juste à cette seule pensé, un sourie des plus pervers et légèrement sadique s'accroche à mon visage. Désormais je ne le laisserai partir pour rien au monde. Je suis un enfant pourris gâté, je le veux, je l'aurai.

Je l'entend rire, cette fois c'est le summum de l'humiliation. Il doit sûrement se moquer de moi. Je le regarde du coin de l'oeil. Rectification : Il se moque de moi ! Je tente de reprendre les choses en main grâce à la parole mais ça le fait d'autant plus rire. Il faut dire aussi que vu la position dans laquelle je me trouve, mes mots ne doivent pas peser très lourds. Il me répond que l'autre homme ne l'intéresse plus et me fait comprendre que je suis sa nouvelle priorité. Un peu gêné, je ne peut m'empêcher de légèrement rougir. J'essaye de me redresser, mais déjà il se place derrière moi et frotte son bassin à mes fesses. Cette fois le rouge des joues est clairement prononcé. Je me tourne vers lui.

- "Vous avez vraiment l'intention de faire ça ?"

La reponse je peut la connaitre rien qu'en regardant ce sourire pervers qu'il m'adresse. Je peux sentir son sexe frotter contre mes fesses et quelque pars, on peut dire que cela ne me laisse pas indifférent. J'ai peur de cet effet. Je tente de penser à autre chose. Je rassemble mes esprits quand déjà il se penche au-dessus de moi et vient lécher mon cou ce qui me rend tremblant. À ce moment il refait référence au fait que je lui fais envie et s'assure que j'ai bien compris.

- " N....non ! S'il vous plaît ! Pas... Pas ça ...."

Je sens une main me caresser le dos, je serre les dents. Ce démon a vraiment quelque chose d'inquiétant. Ses doigts glisse sur ma peau laissant mon corps frémir d'une drôle de sensation. Je ne devrais pas réagir.... Non, je n'ai pas à culpabiliser. C'est normal. C'est une réaction naturelle. Mon corps réagit à des caresses et ne fait pas la différence entre la main d'un homme et celle d'une femme, et encore moins entre un viol et des caresses consentantes. Ses mains glissent jusqu'à mon torse et en proffittent allègrement. Je devrais tenter quelques chose mais.... je ne me fait pas d'illusion. Face à un démon je ne fais pas le poid. Surtout sans mon atirail de magie qui est, évidement, hors de portée. De toute façon vu ce qu'a donné ma tentative de fuite de tout à l'heure.... Je pousse un léger gémissement. Effrayé par ma réaction je plaque une main sur mes lèvres en écarquillant les yeux. Non.....non je n'ai pas fait ça..... Le pire c'est que je suis vraiment excité par cet homme et ce qu'il me fait. La preuve en est de la bosse qui se forme dans mon pantalon. Pourquoi ? Pourquoi moi ?! Le monde s'arrêtera-t-il un jour de s'acharner ?!

Peut importe ce que je fais ou à quoi je pense, Je n'arrive pas à oublier ces mains parcourant mon corps. Mon corps s'échauffe.... ou plutôt se sont ses mains qui sont très chaudes. Vraiment très très chaude. Un cri s'échappe de mes lèvres, la douleure est arrivée dd'un coup, sans que j'ai pu m'y préparer. Ma peau brûle et je ne sais pas quoi faire.

-" Je brûle ! STOP ! .... Je... "

Cet homme est sadique ! Il le fait exprêt ! Quel idiot je suis, je n'ai même pas pensé aux pouvoirs personnels qu'il devait sûrement avoir. Je le regarde d'un air mauvai, des larmes de fureures aux coins des yeux.

- " Ca ne te suffit pas de me violer ? Tu veux me torturer aussi ?! "

Je rigole à ses premiers mots, il me demande si je compte vraiment m'adonner à ce genre d'acte avec lui, il est si naïf, mais pourtant adorable. J'ai l'impression d'avoir affaire à un petit chiot apeuré. Je me colle encore un peu plus contre lui et je vais lui mordiller l'oreille doucement. Je ne veux pas lui faire mal, pas tout de suit en tout cas. Il me supplie déjà et je ris encore. Je ris de sa peur, je le sens déjà s'inquiéter à savoir comment je déciderai d'entrer en lui. Je sais au moins qu'il sait désormais que je ne vais pas en rester là et le relâcher. Je vais ensuite le lécher dans le cou sensuellement avant de lui souffler à l'oreille pour répondre à sa première question.

- "Mais non bien sur, je ne vais pas en rester là, ne t'inquiète pas."

Je ris encore. Un rire sombre cette fois, un rire qui montre bien ce côté sadique que j'aime bien satisfaire, peu importe le moment et l'intention qui se présente. L'occasion est là, j'ai envie de lui faire travailler sa voix, de l'entendre gémir, il a déjà une très belle voix, elle doit être encore plus sous le coup de l'excitation. Je le brûle du bout des doigts et je rigole encore. Vraiment il me fait trop rire, il est réellement amusant. Il me dit qu'il brule, comme si je ne le savais pas, mais je décide alors de jouer un peu sur les mot et parle d'une voix chaude à son oreille.

- " Hmmm.. Tu brûles déjà d'envie ? Tu es si impatient..."

Je vais donc détacher son pantalon et le lui descend rapidement. Il me parle encore, il me fait un reproche, du moins c'est l'impression qu'il donne. Ça question m'irrite alors je prends la décision de passer mon agressivité sur lui. Puisqu'il semble tant que ça la vouloir. Je griffe donc ses fesses d'une mains avec force pour faire apparaître des marques de rougeur.

- "Puisque tu insistes, je vais te torturer en te baisant. "

Je le pénètre ensuite sèchement de deux doigts en enfonçant mes ongles dans sa paroi tout en tirant fortement vers le haut. Je passe ensuite ma main sur son ventre en descendant vers son sexe. J'ai la main chaude, pour ne pas dire bouillante. Je m'efforce de contenir ma chaleur pour ne pas le bruler encore une fois. Je vais toucher son entre jambe du bout des doigts, je souris en voyant qu'il commence déjà à se dresser. Je ne m'attendais pas à ce qu'il puisse vraiment être excité de cette façon, il doit aimer la douleur, voilà qui est plutôt intéressant. Je montre alors un sourire malicieux, des yeux un peu pervers, je montre à quel point je le trouve plus intéressant à présent.

- "Hooo ? Tu ne détestes pas ce que je te fais à ce que je vois. "

Je commence donc à caresser son membre, je le prend d'une main ferme, je serre un peu ma poigne en commençant à entamer des mouvements lent sur son membre que je sens durcir. Par derrière aussi j'entame quelques mouvements doux pour l'exciter un peu plus. De le voir comme ça m'excite encore plus, de le sentir se durcir rend l'espace de mon entre jambe plus confiné. Je n'ai pas le choix, souffrir de cette façon, je déteste ça. *Je retire donc mes doigts de lui pour aller détacher mon pantalon d'une main de manière à libérer de l'espace. Et tant qu'à faire ça, je suis aussi bien de faire prendre l'air à mon sexe. Il se durcis sans mal, j'approche mon bassin de ses fesses, cherchant à positionner mon gland face à son entré. Je le touche à peine que j'ai déjà envie d'entrer. Alors je pousse, je le fais avec force tant je suis presser de le sentir autour de moi. J'entre trop doucement à mon goût, alors je donne un coup, puis un autre plus fort, je veux qu'il m'avale en entier et pas juste le bout. Avec cet effort, j'en oubli l'action de ma main et seulement une fois que je touche le fond, je recommence mes actions pour le faire gonfler encore plus. J'en gémit un peu tant c'est bon de le sentir de cette façon.

Je l'entend rire à mes mots et je rougis lorsqu'il vient me mordiller l'oreille, respirant difficilement. Je cherche un moyen de pouvoir m'échapper mais à chaque fois ça me semble vain. Peut importe ce que je choisirai de faire, je finirai de toute façon violé par ce démon. Mais dois-je pour autant me laisser faire ? Il vient me lécher le cou, une partie de moi répugne ce geste mais mon corps en frissonne. Je sais bien ce qui m'attend après... Si on m'avait dis qu'un jour un homme me ferait ce genre de chose ou que serait traiter comme une femme par un homme, je ne l'aurai certainement pas cru et pourtant... c'est en train de m'arriver.

Il me dit de ne pas m'inquiéter qu'il ne va pas s'arrêter maintenant. Il transforme tout mes propos... peut importe ce que je fais ou ce que je dis il n'en tiendra pas compte et fera en sorte que ça serve ses intérêt. Un véritable démon.... et son rire machiavélique et plutôt inquiétant ne fait que renforcer mon idée ainsi que ces brûlures qu'il m'inflige. Alors que je m'affole de sentir ce genre de sensation, lui continu à rire, cruel et murmure à mon oreille la pire des horreur. Il dit que je brûle "d'envie"... que je suis "impatient". J'en ai presque envie de pleurer. Comment je pourrai avoir envie de sentir un mec pareil en moi ? Comment je pourrait vouloir un mec tout court entrer dans cette partie si intime de mon corps ?

Enervé par l'excitation que j'ai depuis qu'il a commencé à me toucher et par ce qu'il me fait, je lui fait une réflexion qui semble l'énervé. Il baisse mon pantalon rapidement, je ne peux m'empêcher de trembler à l'idée que le moment approche. Je hoquète en sentant ses mains sur mes fesses, et encore plus alors qu'il me les griffes fortement. Je pense qu'elles doivent être rouge... Mais ce qui m'inquiète le plus ce sont ses mots... ça y'est .... il est prêt à me "baiser". Livide je sens une horrible douleur me prendre, il a entré quelque chose en moi... comme ça, sans prévenir... Ca fait mal et lorsque je sens les ongles, je me dis que ce doit être des doigts.... Je pousse un petit cri de douleur.

-"Non.... pitié..."

Sa main descend sur mon ventre, elle est chaude, mais ne brûle pas cette fois, c'est une chaleur presque agréable et lorsqu'il touche mon sexe du bout des doigts, j'ai honte de le sentir se dresser. Je le regarde, il doit bien se moquer de moi... Non, c'est pire... il aime ça. Il me regarde avec des yeux plus pervers et un sourire qui ne présage rien de bon pour moi... Evidement il me fait remarquer que je dois aimer ça puisque mon sexe se dresse.... Je me sens obliger de répliquer en rougissant de honte.

-" Non ce n'est pas vra... Aaaahhmm...."

J'ai terriblement honte, mais je n'ai pu retenir ce gémissement alors qu'il a commencé à me caresser doucement, la sensation est si bonne que j'en oublie presque que je me fais violer. Je tente de me mordre les lèvres pour m'en empêcher mais rien à faire. Le mouvement de sa main sur mon membre et celui de ses doigts devenus doux en moi me donne..... j'ai honte de le dire.... mais c'est du plaisir... J'aime ça.... J'aime qu'un homme me touche.... Je durcit d'ailleurs rapidement entre ses doigts et pousse quelque gémissement que je n'ai pu retenir. J'ai honte... terriblement honte mais de le sentir si doux m'excite vraiment et je ne peux me retenir de penser que c'est bon, si bon... et mes pensées dépassent mes lèvre dans un murmure presque inaudible.

-"Huum... aaah....boon...Annnmm...."

Mais alors que je me sens approcher de la jouissance, il retire ses doigts et je me déteste de ressentir une telle frustration. Je tente de ne rien laisser paraître. Je ne veux pas qu'il sache à quel point j'ai terriblement aimé ce qu'il vient de me faire. Je jette un coup d'oeil derrière moi et me rend compte qu'il ouvre son pantalon. Je déglutit en voyant la taille de son sexe. Ca ne rentrera pas.... Je vois qu'il est déjà bien dur.... Il approche son gland, et la panique recommence à monter. Non... Je mords ma lèvre et des larmes perlent aux coins de mes yeux alors que son gland entre à peine en moi. J'agrippe la table de toute mes forces.

-"Ca... ça ne rentrera pas ! ... C'est... c'est trop Aaaah ! Trop gros !"

Il pousse plus fort jusqu'à atteindre le fond. Ca fait mal... trop mal.... Je sens une douleur sans nom prendre possession de moi et un liquide chaud coule sur mes cuisses.... du sang sûrement.... Je viens de perdre ma virginité, telle une pauvre jeune filles. Est-ce que le sex avec un homme est toujours aussi douloureux ? J'agrippe le bureau de toutes mes forces, voyant mes phalanges blanchir. Le supplice est insoutenable, ça fait mal... terriblement mal.... J'en pleure et commence à sentir mon pénis se ramollir mais il recommence à le caresser ce qui a pour effet malgré la douleur de me faire grossir et durcir. Il gémit, aimant sûrement ce qu'il me fait. Je ne comprend pas... je ne pense rien avoir de spécial.... Quand je pense que je n'en suis même pas à la fin je ne peux que me demander ce qu'il va m'arriver. Mon corps bouge sous ses mouvement et la douleur me fait pleurer silencieusement tandis que ses caresses me donnent un plaisir paradoxal.

Ce qu'il peut être bavard. Il parle sans arrête, il se ment à lui même. Ses paroles en viennes presqu'à m'agacer. Je l'entend gémir et cela fait que j'en suis satisfait. Je suis même fier de moi, je le fais déjà grossir et il gémit, évidemment de bon coeur, il doit réellement aimer ça. Je n'ai aucun doute que j'en suis pour quelque chose, je suis doué pour ce genre de chose, je ne le cris pas sur tout les toits, je ne suis pas vantard, je ne le suis pas. Pourtant quelque fois... Haa et puis merde ! Je me vante !

- La chance que tu as d'avoir un homme aussi bandant que moi. Tu n'as sans doute jamais été aussi excité par un homme auparavant, j'en suis sur. Tu t'excites si vite, c'est bien parce que c'est moi.

Voilà qui est fait ! Je rigole, je m'aime, j'aime le sentir aussi près de moi. Non je ne suis pas vantard, je dois bien être un peu narcissique par contre. À l'instant je pensais jouer sur les mots en lui disant qu'il brulait d'envie pour moi, mais en entendant sa réponse, ses gémissements et le plaisir qu'il éprouvait à ce moment là, je n'ai plus de mal à le croire, il brule réellement d'envie pour moi, ça ne fait aucun doute ! Je ne peux pas m'empêcher de sourire tant je suis heureux de mon coup. J'aime l'entendre gémir, sa voix est si chaude, si excitante qu'elle me fait frémir d'envie. Je veux l'entendre gémir davantage, je veux l'entendre plus fort, je veux qu'il cris son plaisir, qu'il se sente déchirer d'autant aimer que je le touche alors que je ne lui en donne pas le choix. Quand bien même que je lui en donnerais le choix, je suis sur qu'à présent il ne voudrait pour rien au monde que j'arrête de l'utiliser pour mon bon plaisir.

Je ricane encore en entendant et en ressentant sa panique dans sa voix. Se rend t-il compte qu'il me complimente ? Il dit que j'en ai une vraiment grosse, que ça ne rentrera pas, sait-il qu'il peut s'étirer ? Je ricane encore, pas moyen de m'arrêter, j'en suis fier alors d'avoir du mal à entrer en lui me^me avec mes coups, cela veut dire que j'en ai une grosse et ça veut dire aussi qu'il ne m'en faut pas beaucoup pour faire augmenter mon égo. Vu le compliment qu'il me fait, je dois certainement le complimenter aussi, non ? Au moins lui dire "merci" pour ce beau compliment. Voilà, je me lance. Je par le lécher derrière l'oreille, en souriant, visiblement heureux de son compliment.

- Hmm.. Merci. La tienne n'est pas si petite non plus, je te rassure.

Je soupire de plaisir et je continue de lui caresser son membre avec une certaine avidité, comme si je tentais de le faire grossir encore plus. Je lui caresse son manche avec ardeur alors que j'entame déjà des mouvements rapides en lui. Je donne des coups puissant en lui, je veux tant l'entendre crier, je veux tant l'entendre se déchirer entre sa volonté et son plaisir. Je me donne de l'énergie, de la motivation pour aller plus vite encore et plus fort. À peine je viens de commencer que je sens un liquide chaud m'entourer. Ce doit être l'excitation, naturellement. Il boue déjà de plaisir, maintenant il doit certainement en vouloir plus, je ne vais donc pas le faire attendre, à présent je ne vais plus le faire languir, je ne vais plus y aller "doucement" il mérite bien que je m'y mette vraiment. Alors je vais lui souffler à l'oreille.

- Tu en veux plus pas vrai ? Tu vas être servis.

Je passe donc une main sur son torse pour me permettre d'aller plus vite en m'agrippant un peu à lui puis je continue d'astiquer son membre avec plus de force. Je m'attarde un peu sur son gland à chacun de mes mouvements. Je veux réellement l'entendre crier de plaisir tant sa voix en est excitante. À présent je donne des coups brutaux, j'en suis presque violent en lui. Je me fais sauvage alors que je cherche à le faire crier toujours plus fort. Qu'est-ce que je peux aimer la sensation, le plaisir. J'en suis réellement allumé. Ma chaleur augmente encore, elle devient bouillante, le feux ne prend pas, je fais tout de même des efforts pour ne pas ne pas le bruler, je ne voudrait pas qu'il prenne en feux, ce serait bête. Je ne suis pas pour faire l'amour à une carcasse en feux, du moins quand c'est un humain. C'est le genre de chose qui casse beaucoup l'envie ce genre de chose.

Je l'entends se vanter encore et encore. Il est vrai qu'il est plutôt beau et qu'il est plutôt doué... mais il n'a que ça. Il n'a pas à se vanter autant alors que sa personnalité et si ignoble et pénible. Comment un être peut être aussi mauvais et jouir autant du malheur des autres ? Que suis-je censée faire ? Que puis-je faire ? Normalement, j'ai tendance à voir du bon en chacun, mais chez lui j'ai vraiment du mal pour le moment...

- "C'est normal.... Hu ! Aucun homme ne m'avait encore touché ! Quant à mon excitation ce n'est qu'un... un effet naturel...."

J'essaie de me défendre au mieux, mais comment y arriver quand la personne qui vous tourmente est persuader de vous donner du plaisir et déforme avec un amusements plus qu'agaçant tout les mots qui sortes de votre bouche. Sans parler de mon sexe qui se refuse à dégrossir. Vous pouvez donc imaginer la panique qui me saisie quand en plus, il commence à entrer en moi. L'horrible l'impression d'être une boite tellement pleine à craquer que plus rien ne peut entrer dedans..... je ne pensais pas que je la ressentirai un jour. Et j'ai beau lui dire que ça ne rentrera jamais il ricane de plus belle, ignorant sans soucis mon désespoir pour plonger plus loin encore. Pire, il se penche vers moi et me lèche derrière l'oreille, une sensation pas si désagréable que ça s'il ne prenait pas mon avertissement pour un beau et gentil petit compliment. Me complimentant à son tour sur ma "queue" qui ne serait pas "si petite"... Je ne sais pas comment le prendre... est-ce qu'il essaye d'être gentil ? Est-ce qu'il essaye de me torturer ? Est-ce qu'il est juste idiot et ne comprends pas ? Je pense qu'il faut éliminer la dernière solution même s'il n'est pas capable de comprendre que deux hommes en pleines relations sexuelles ce n'est pas une situation naturelle !

Je vais lui faire une réflexion mais déjà il bouge en moi, accélérant les mouvement de sa main sur ma verge. Je suis complètement tiraillé entre la douleur lancinante de mon intérieur et le plaisir brûlant de sa main me masturbant comme personne avant ne m'avait masturbé. Je gémit, je sens les larmes sur le point de rouler sur mes joues, je suis un paradoxe constant et je commence à devenir fou de ne pas savoir ou j'en suis. Je me mord la lèvre pour ne pas lui laisser le plaisir de trop en entendre. Il revient à nouveau à mon oreille pour me souffler une question à laquelle il a déjà trouvé sa propre réponse. Je ne trouve même pas la force de protester alors que sa main viens agripper mon torse et que ses gestes deviennent plus forts, plus intenses, plus brutaux. Et c'est les larmes aux yeux que je lui demande.

- "Est-ce que... hum ! Ca fait toujours mal ? Aah ! Le sex avec un homme ?"

Ses doigts sur mon gland me rendent si fous que je m'en cambre de plaisir et que j'ai déjà l'impression d'être au bord de la jouissance. Mon corps bouge suivant le sien, et j'ai de plus en plus de mal à retenir mes cris, si bien qu'un filet de sang finit par couler de ma lèvre que je meurtri de mes dents avec trop de forces maintenant. J'ai de plus en plus chaud, mais mon esprit est tellement incapable de réfléchir que je ne peux déterminer si ça vient de lui ou de mon propre corps.

Toutefois, petit à petit, la douleur se fait moins importante et un délicieux plaisir prend toute la place. Je suis en train d'aimer me faire prendre par un homme et je me déteste pour ça. Je me fais prendre par un démon... un démon de type masculin.... Pourquoi ? Mais pourquoi j'en suis arrivé là....? Je me met à soupirer bruyamment avant de grogner de plaisir crescendo jusqu'aux gémissements que j'avais retenus jusque là. Je voudrais m'enterrer pour ne pas pouvoir être vu en train de fondre et de me consumer sous le plaisir qui commence à me prendre d'assaut.

Je rigole alors que je l'entendant parler, ce qu'il dit est si.. faux ? Il parle d'un effet naturel, je sais bien que ce n'est pas seulement parce qu'on touche que ça lève, il est marrant. Je donne des coups plus fort en lui, à chaque fois je touche le fond, je sens que je dois probablement toucher sa prostate. C'est si bon, il est si bon ! Je sens le plaisir me prendre, au début c'était pour jouer, il semblait se donner à moi de cette façon, de sa façon qu'il s'est étendu sur son bureau, je ne peux pas croire qu'il ait vraiment tomber comme ça par accident. Je suis persuadé qu'il le voulait. Même si ce n'était pas le cas, moi je le voulais. Il est si bon et sa voix m'incite à y aller plus franchement, à lui martyriser l'intérieur toujours plus. J'entends qu'il tente d'étouffer sa voix, je trouve ça frustrant. Il ne voit donc pas que je fais des efforts pour le faire crier ? Il ne voit pas que je veux l'entendre ? Et lui se retient, quel égoïste !

- "Ne te retiens pas voyons. Hmm... Je veux t'entendre, je veux que tu cris fort. Très... fort"

Voilà maintenant que je donne un puissant coup en lui, un plus fort encore que tout ceux que je lui donne sans relâche. J'hésite à en faire plus pour le faire souffrir, je me demande si c'est suffisant ou si je dois m'épuiser plus rapidement. Alors que je lui pose une simple question, il m'en pose une. C'est vrai que je ne m'attendais pas à ce qu'il réponde, je ne m'attendais pas à ce qu'il me parle à nouveau. Voilà maintenant qu'un sourire apparaît sur mes lèvres. Il est large, il est intéressé, il se forme presqu'en un rictus sur mon visage. Sa question m'intéresse, elle me donne très envie d'y répondre. En faiblissant dans les coups violents, je me penche vers lui, titillant son gland langoureusement, je vais lui mordiller l'oreille sans lui faire ressentir la douleur.

- "Voilà donc une bonne question. Hum... On essaiera une autre fois et si cette fois là tu as encore mal, tu auras ta réponse. Aimerais-tu savoir combien de fois tu dois le faire pour ne plus avoir mal ?"

Le rictus est à présent bien évident, je ricane de ma question, un ton sombre et un sourire sadique. À ma question, je regrette presque de l'avoir pris par derrière. J'aurai aimé voir son visage, j'ai envie de voir la peur s'y dessiner sur ses trais si fin. Hmmm... J'ai bien envie de le prendre encore, j'ai envie de l'entendre plus crier, je veux le sentir se déchirer la voix alors que je frappe ses fesses contre mon bassin. Je veux le prendre dans mes filets.

- "Hmmm... Je te veux...."

J'ai laissé échappé cette phrase de mes pensées, j'ai du mal à me retenir alors que je reprends les caresse sur tout son membre, je descend ma main sur ses bourses en les caressant également avec envie, je les lui serre aussi un peu avant de remonter vers son gland. Je fais ensuite des mouvements ferme de va et viens sur son membre, je me demande bien combien de temps il va rester tendu avant de jouir. J'ai bien l'impression qu'il explosera bientôt, c'est mon cas, et j'espère bien qu'il se videra avant moi, ou alors en même temps. Je tape plus fort encore contre ses fesses, mon autre main caressant son torse avec envie. Je souffle chaudement dans son cou, une autre question vient au bord de mes lèvres.

- "Sens-tu que tu es.... au bord de la jouissance ?"

Je pousse un petit gémissement chaud et sensuelle près de son oreille tout en souriant perversement.

Son rythme endiablé commence à me rendre fou, résister à l'envie et au plaisir m'épuise, je suis à deux doigts de lâcher prise... j'aimerai tant lâcher prise et juste me laisser aller, faire ce qu'il veut jusqu'à ce qu'il parte mais voilà... J'ai cette petite voix intérieur agaçante qu'on appelle morale qui m'empêche de le faire. Et puis, en voyant ce que je ressent j'ai peur... Et si je lâchais vraiment prise ? Totalement ? Entièrement ? Quel genre de personne je deviendrai ? Qu'est-ce que je ferais ? Qu'est-ce que je serais ? La douleur est déjà quasi inexistante et je ne sais plus quoi inventer pour retenir mes cris. Ca semble l'agacer puisqu'il me dit clairement qu'il veut que je cris de plaisir. Ce cinglé veut que je prenne mon pied pendant qu'il me viole ... et le pire... c'est que ça marche. Je déteste ça, je déteste être comme ça. Comment je peux aimer me faire prendre comme ça ? Sur mon bureau, par un démon masculin qui me martyrise l'intérieur. Il ponctue d'ailleurs sa demande par un coup de reins encore plus violent qui m'arrache un cris de plaisir hors du commun. Je ne sais pas ce qu'il a touché, mais.... c'est bon.... Je pleure de désespoir d'être un être aussi immonde. J'ai mal et ça me fait du bien en même temps... quelle atroce paradoxe.... Mais voilà que après ma question il se radoucit. Ralentissant, il se fait même câlin, cajolant mon gland et mordillant mon oreille. Je n'empêche plus les soupirs et gémissements de plaisirs qui sortent d'entre mes lèvres. J'en ai encore plus honte et ouvre grands les yeux en l'entendant me proposer de recommencer une prochaine fois, je me met à paniquer. Encore une fois ? Puis une autre ?les mots sortent instantanément de ma bouche.

-"Non ! Pas encore ! Je ne veux plus jamais ! Jamais ressentir cela ! C'est horrible je.... Non !"

Je me tourne vers lui et rencontre un sourire des plus horrible, j'ai peur, je n'aime pas ça. Pourquoi y a t-il fallut que ce soit lui ? J'ai peur, vraiment peur... Mais j'essaye de le cacher le mieux possible. Le plaisir que j'ai me fais gémir, et je n'arrive plus à me retenir. Complètement tendu, la jouissance approche à grand pas, je me retiens m'étant dis que je ne devait absolument pas jouir, ça lui donnera raison. Ses paroles pourtant me surprennent une nouvelle fois avec un "je te veux" sur un ton presque doux et les caresses qui suivent sont si diaboliquement délicieuses que j'en oublierai presque que je me fais violer. Ses mains, sur mon torses et mon gland me font chavirer. Il accélère une nouvelle fois mais cette fois, c'est presque complètement bon et résultat me voilà au bord de la jouissance. Je suis si tendu que je vais bientôt exploser. I ne se gêne d'ailleurs pas pour me le demander.

-"han ! Hannmmmm ! Non....nonnn ! Aaaaahhhh !"

Mais voilà, un soupire sensuel à mon oreille et voilà que je ne peux plus tenir, j'explose et jouit en un cri et un jet de jouissance. Je me cambre, m'agrippant au bureau avant de m'y laisser tomber essoufflé. J'ai honte... Mais j'ai jouit sous les caresses de mon violeur.

Je suis assez fier de mon coup. Celui que je lui ai donner, plus fort que tout les coups de bassin que je lui ai offert, j'ai alors pu entendre sa magnifique voix me livrer un gémissement délicieux. J'ai envie de le lui redonner, j'ai envie de l'entendre hurler, je ne peux pas m'en empêcher, je l'assène de deux autres coups puissant, je reste dans un rythme effréné en continuant d'aller et venir en lui. C'est si bon, l'entendre gémir est si agréable aussi, si amusant. Il est étonnamment divertissant ce jeune humain, je suis surpris de voir à quel point. J'ai rarement vue des humains aussi intéressant, d'autant plus que celui-ci est si attirant, je n'ai pas mi longtemps à l’exciter en le voyant, ses hurlements m'incitent à me donner plus à fond, j'ai toujours envie d'aller plus loin en lui, de le faire crier plus fort, il devient l'objet de mes désirs en un si court instant.

À ma première question, celle où je lui demande s'il veut que je le reprenne encore et encore, je le sens commencer à paniquer. Son coeur palpite je le sens, je le sens aussi se crisper, c'est si bon que j'en gémis sans gêne de manière obscène. Je me retiens encore de ne pas déjà éclater en lui, je me mords la lèvre pour m'obliger à me retenir, ce que je peux détester ça. C'est énervant, mais si bon à la fois puisque que le plaisir en devient d'autant plus délectable. Je l'entends alors crier une réponse négative. Il insiste tant sur le "non" que j'en viens à le confondre avec un oui. Il est si insistant qu'il en vient à me provoquer de continuer, ce que je fais en accélérant mes gestes, je lui assène des coups plus brutaux en touchant un point sensible en lui tout en faisant claquer ses fesses contre mon bassin.

- Haamm.. très bien... Je reviendrai te voir.

Je sais bien que ce n'est pas la réponse qu'il espère, c'est pourquoi ça m'amuse. J'en ris encore, ça m'aide à me retenir de le remplir que de penser à cette drôle de phrase. Il semble inquiet, ça le rend si adorable, j'ai envie de le croquer tout cru. Ce que j'ai envie, je le fais. En me penchant vers lui je vais le mordiller au cou en y faisant passer ma langue, le suçotant comme s'il s'agissait d'une sucrerie. Il en deviendrait presque aussi bon si ce n'est mieux. Je sens alors un liquide sur ma main, le genre qui me fait afficher un sourire et un air remplit de satisfaction, presque fier. Non, je le suis ! Je suis fier de l'avoir contre dit, lui qui disait qu'il n'était pas sur le point de jouir, il me fait encore rire, mais je n'arrête pas mes coups pour autant, je lui agrippe les hanches à deux mains en me faisant encore plus brutal pour finalement me laisser aller en lui. Je me libère sous des coups violents en gémissant fortement.

S'il y avait eu une fête tout près, j'aurais probablement couvert leur musique avec ma voix. Je veux que les gens m'entendent, je veux que non seulement il sache qu'il a été l'objet de mon plaisir, mais également tout le monde, ses collègues, ses amis, même des gens qu'il ne connait pas encore. Je veux qu'ils sachent que cet inspecteur a été rempli par un autre homme. Je faibli ensuite dans mes coups en finissant de me vider. Je m'arrête ensuite, mais je ne me retire toujours pas. Je vais tout au fond de lui et passe une main sur son ventre en le serrant contre moi pour l'empêcher de s’échapper à mon intrusion. Je me penche alors vers lui, récupérant de sa semence toujours sur son gland que je porte ensuite à ses lèvres avec un léger air sadique.

- Lèche. Goûte à quel point tu as aimé que je te fasse jouir, petit pervers.

À ces mots que je prononce, je vais à nouveau le lécher, cette fois à la nuque, je repousse également ses cheveux avec ma langue sous cette léchouille. Le vais ensuite mordiller son oreille en le léchant doucement, il est vraiment bon, trop bon. J'ai l'impression d'avoir trouvé cette chose que l'ont désire très fort sans comprendre pourquoi. Comme un enfant qui trouverait un jouet qu'il désire plus que tout dans un magasin. Je crois être ce petit garçon, je n'ai pas envie de perdre mon nouveau jouet. De ma main sur son bassin, je glisse vers le bas en allant caresser doucement la base de son membre.

- Hmm.. Je te veux pour moi seul.

J'ose espérer qu'il comprend que je veux le revoir et recommencer à le prendre dans toute les positions possible, dans tout les lieux et dans toute les situations possible et à chaque fois, le faire crier autant. Je veux finir par le posséder entièrement même si j'en viens à me tuer à la tâche. Je ne connais qu'une seule façon de le posséder d'une telle façon, de pouvoir le retrouver où qu'il aille, qu'il ne puisse jamais s'enfuir de moi même s'il s'envolerait à l'autre bout du monde. Je veux le marquer, montrer à tous qu'il m'appartient à moi uniquement. Oui, je veux un contrat avec lui.

[ (<3) Pardon pour le retard de réponse ma grenouille. é.è ]

Un service ou un exigence ? [PV : Damon Harper] [Yaoi]

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